La guérison karmique : une pratique millénaire pour vivre sereinement le présent

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La notion de karma est souvent mal invoquée, mal interprétée au sein des discussions populaires. On l’associe volontiers à une dynamique un peu bancale de « points » ; de « jetons » que l’on aurait perdus, gagnés durant cette vie ou une vie antérieure.

Mais ce terme renvoie à des phénomènes bien plus subtiles – du moins si l’on remonte à son acception la plus ancienne, la plus authentique. Il ne s’agit pas de subir son sort, par rapport à une erreur qu’on n’a pas pu s’empêcher de commettre. Que ce soit au cours de cette existence ou d’une autre.

Au contraire, le karma est action. Une action qui n’émane pas d’une force supérieure, mais bien de soi. Et ce qui nous empêche d’aller de l’avant, précisément, c’est lorsque la capacité à faire, à avancer, semble enrayée. Quand des obstacles, ceux qui s’amoncèlent en notre for intérieur, se dressent comme autant de murs d’une hauteur à priori vertigineuse.

Mais ils n’ont rien d’infranchissable. La guérison karmique, justement, permet d’adresser tous ces blocages, d’en prendre conscience pour s’en libérer.

Un voyage spirituel au cœur de la sagesse tibétaine

L’occident est indubitablement en mal de spiritualité – du moins si l’on analyse la dynamique générale des populations. L’heure est davantage aux antidépresseurs et au fatalisme qu’à l’amour de soi et à l’éveil.

Et c’est là qu’un travail de fond peut être entrepris. Par chacun d’entre nous.

La sagesse des moines tibétains offre à cet égard une source d’inspiration inépuisable. Elle permet de comprendre, de réaliser à quel point nous négligeons parfois notre esprit dans une course quotidienne et parfois stérile.

Renouer avec les vertus de la méditation, c’est donner une place aussi importante à son corps qu’à ses corps subtils. C’est prendre conscience de peupler la terre non seulement en tant qu’être de chair, mais également en tant qu’être de lumière.

Si vous vous êtes déjà penché(e), ne serait-ce qu’un peu, sur la spiritualité héritée de la tradition sanskrite, vous savez à quel point l’énergie est importante dans le maintien entre l’esprit et le corps.

Les chakras sont justement des centres énergétiques, qui forment autant de ponts entre un « nous » incarné, et un nous désincarné.

Mais nous ne sommes pas là pour donner une leçon complète sur cette perception du visible et de l’invisible.

Ce qu’il est important de retenir, c’est que guérir son karma, c’est avant tout refermer ses blessures intérieures. Celles qui sont occasionnées, causées par des ruptures sur le plan énergétique.

Travailler sur soi : la mission d’une vie

Le soi est précieux. Et l’on ne parle pas ici d’égocentrisme, de prétention… mais simplement de la capacité à s’aimer, à être en accord, en phase avec soi-même.

La « souffrance » de notre karma vient d’une faiblesse de résonance. C’est un peu comme si l’on arrivait plus à capter ces fréquences qui nous lient à notre être profond. Les peurs, les doutes qui engoncent notre quotidien, héritées de nos vies antérieures, de nos traumas d’enfance, de certains événements qui ont perturbé notre existence.

Nous n’avons pas à porter toute cette négativité. Même si l’on a commis des impairs, il n’est pas question de se punir à outrance, de se refuser l’abondance ou le bonheur.

Il serait, par ailleurs

, contre-productif de vouloir se « faire une raison », considérant qu’on n’y « peut rien ». Car au contraire, on peut agir. Retrouver cette fameuse fréquence, pour rétablir une communication, dans le sens large et omnipotent du terme, avec notre conscience profonde.

Travailler sur soi consiste notamment à méditer, à pratiquer la relaxation pour revenir à soi. Attention : on ne parle pas de se « replier ». Bien souvent, d’ailleurs, se connaître, se reconnaître, c’est un levier fabuleux pour s’ouvrir aux autres progressivement.

Comment procéder à sa guérison karmique ?

Il n’y a pas de remède physique, comestible, permettant de guérir son karma. Sylvana di Gaetano, thérapeute holistique, en a pris conscience depuis bien longtemps. Elle consacre une large partie de sa vie à transmettre son expérience de l’éveil.

Elle propose des séances propres à mener le fameux travail sur soi qu’on évoquait un peu plus tôt. Ses approches lui viennent d’une longue découverte de la spiritualité, de sa spiritualité – son parcours de vie l’a mené à ritualiser son rapport aux énergies.

Une ritualisation dont elle offre les clés au gré de ses enseignements.

En vous initiant à l’art de la guérison karmique, vous allez…

• Éveiller et élever votre spiritualité, pour voir et percevoir la vie, les vies au-delà du matériel.
• Défaire ces nœuds karmiques qui vous empêchent d’avancer, comme autant de chaînes invisibles.
• Développer une autonomie en termes de relaxation et de méditation. Les outils qui vous seront transmis ne sont jamais repris. Il ne s’agit pas d’un patch miracle à coller sur sa peau. C’est une nouvelle sagesse que vous acquérez.
• Selon une approche très différente de la psychanalyse par exemple, vous allez donc pouvoir surmonter ces peurs, ces angoisses qui gâchent tout ou partie de votre existence.

Et pour assurer un lien avec ses inspirations millénaires, Sylvana di Gaetano propose de retrouver le son du tambour, d’apprécier les vibrations du bol tibétain.

Il y a l’idée de rétablir un échange, de relancer une circulation des flux énergétiques pour, idéalement, ne plus jamais y renoncer.

Nous vous invitons à consulter cette page pour en savoir davantage. Vous êtes à quelques clics de découvrir une vidéo introductive, d’abord, qui permettra de rencontrer virtuellement la thérapeute. Puis, pour aller plus loin, vous pouvez découvrir ses ateliers. Loin d’être de simples boîtes à outils didactiques, ces modules de formation sont la somme d’une longue découverte de la spiritualité.

Le karma ne se soigne pas comme un mal de tête ou une angine. Il se chérit, il s’entretient tout au long d’une existence, tout au fil d’un destin. Un destin qui n’est pas fatalité : nous pouvons toutes et tous agir, à notre manière, pour aimer vivre et vivre en aimant. Tout simplement.

 

 

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