Travailler sur les mémoires limitantes

À notre époque, la tendance à se dévaloriser est malheureusement très répandue – presque normalisée. Dès que quelque chose bloque, ou « coince » pour utiliser un terme plus populaire, il est facile de se sentir incapable, inadapté

… et c’est un sentiment qu’il faut vraiment apprendre à chasser. D’abord parce que nul n’est parfait ; l’échec d’aujourd’hui ne suppose pas forcément celui de demain. Ensuite parce que certaines limitations trouvent leur source à un tout autre niveau. À une tout autre… époque, même.

Oui, nous sommes les héritiers de ce que l’on appelle les mémoires limitantes. Cela ne nous décharge pas de toute responsabilités, certes. Il n’est pas question d’en faire un prétexte. Toutefois, avant de s’auto-flageller, il s’avère plus raisonnable de se comprendre, de s’apprendre, dans cette vie… comme dans les précédentes.

Entreprendre un travail sur ses mémoires limitantes nous porte d’ailleurs bien au-delà de l’information : c’est un levier de construction et de reconstruction. Cela contribue fortement à s’épanouir sur le plan personnel et professionnel.

Voici quelques précieux éléments à ce propos… et, comme toujours, des pistes pour aller plus loin.

 

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Les mémoires limitantes : c’est quoi, exactement ?memoires limitantes

Quitte à tomber dans l’évidence, répétons-le : nous suivons tous un chemin de vie. Il est fait de rencontres, il se retrouve jonché d’espoirs, de plaisirs, d’accomplissements, d’actes manqués, d’amour aussi.

Ce chemin, nous ne le parcourons pas de manière automatique et mécanique. Nos accélérations, nos ralentissements, parfois l’emprunt de voies alternatives dépendent de nos croyances, de nos programmations. Et leur impact sur nos décisions, sur nos choix peut être absolument puissant.

Les mémoires limitantes, justement, sont ces « mantras », ces principes que nous avons ancrés en nous, en notre esprit, en notre corps aussi, et qui fonctionnent comme autant d’évidences. Dans certains cas, cela peut s’avérer porteur ; dans d’autres, c’est un frein à l’épanouissement et à la réussite.

Mais d’où viennent-elles ? On peut déjà citer deux sources possibles :

  • Notre passé, depuis la naissance. Au fil des événements qui ont marqué notre existence, nous avons vu, lu, senti, entendu… développant ainsi des mémoires.Attention, il ne faut pas confondre ce concept avec celui de souvenir. Les mémoires n’ont pas la même consistance. Il ne s’agit pas de revivre un moment précis par la pensée ; ce sont davantage des « traces », des reliquats… tenaces. Des schémas, qui peuvent effectivement avoir été initiés à une occasion précise, mais qui depuis se répètent subtilement, voire sournoisement.

    Dans les relations humaines entre autres, ces schémas ont un impact potentiellement destructeur. Une expérience douloureuse dont on n’aurait pas déprogrammé la mémoire mène, typiquement, à s’en prendre aux autres par frustration, par méconnaissance. Une personne qui s’est sentie abandonnée dans son enfance va se montrer excessivement hostile, exigeante, étant inconsciemment influencée par ces schémas ancrés.

  • Les mémoires collectives et karmiques jouent aussi un rôle non-négligeable. Lors de notre incarnation, nous devons transporter les « bagages » émotionnels de nos ancêtres. On retrouve là certaines idées véhiculées psychanalyses, mais sous un angle bien plus spirituel. Tout ne se situe pas au niveau du cerveau : notre corps et notre esprit sont entièrement le siège d’émotions positives ou négatives.La pollution provoquée par nos mémoires collectives vont précisément guider nos actes, pour le meilleur et pour le pire. Il est temps de nettoyer ces résidus limitants, de réparer les failles du moteur.

L’écologie intérieure : retrouvez un équilibre personnel optimal

Depuis quelques années, l’environnement préoccupe à de nombreuses échelles. Le fameux dérèglement climatique ainsi que l’épuisement des ressources présentent, fondamentalement, un problème d’équilibre : il fait trop chaud ou trop froid, les ressources manquent dans une zone mais sont gâchées dans l’autre…

… et le même genre de phénomènes, moyennant bien sûr quelques adaptations, s’observe au sein de nos êtres. Pour des raisons karmiques ou au long du vécu, nous avons perdu une partie du contrôle que nous devons exercer sur nous-même.

La pollution engendrée par les mémoires limitantes devient métaphoriquement toxique : elle empoisonne notre vie en cela qu’elle nous affaiblit, qu’elle nous empêche d’avancer, de tenter, de vraiment apprécier l’existence.

Comment travailler efficacement sur les mémoires limitantes ?

âme soeurThierry Lancereau propose justement une série d’ateliers sur le sujet des mémoires limitantes.

Il s’agit bien sûr d’en prendre conscience (une étape incontournable), puis de les déprogrammer. Cela ne se fait pas en quelques secondes, mais la poursuite de ces objectifs peut vraiment marquer un tournant dans notre vie.

Il faut savoir que nos blocages existent à différents niveaux de l’être. Les distinguer fait partie des premières démarches à entreprendre. Et il y en a bien d’autres… que nous vous invitons à découvrir. Elles ont toutes un lien avec l’idée de canalisation : on retrouve, comme bien souvent quand la spiritualité est en jeu, l’idée de faire circuler les énergies, de rétablir une harmonie entre le physique et le psychique.

Un atelier de progression collective pour un travail efficace sur les mémoires limitantes

Thierry Lancereau a justement mis au point de nombreuses techniques pour mettre ces mémoires à jour et « dépolluer » notre intérieur.

Mais il ne s’agit pas d’appliquer des protocoles rigides. Les ateliers de ce praticien-formateur, connu notamment pour sa méthode ThetaHealing, laissent une place à la créativité de chacun(e). Pour faire vos premiers pas, nous vous proposons de découvrir ses formations de groupe, qui donnent un accès particulièrement humain à la déprogrammation des mémoires limitantes.

De nombreux témoignages rapportent l’efficacité et la sincérité de ces séminaires. Ils remettent notre potentiel de guérison intérieure au centre des préoccupations – là où le fatalisme et le découragement prennent trop souvent le dessus dans notre approche moderne du monde.

Afin d’en savoir davantage, il vous suffit de cliquer ici. Celles et ceux qui hésitent encore seront rassuré(e)s d’apprendre qu’il n’y a rien d’absurde dans cette manière de vivre et de se vivre. Au contraire, Monsieur Lancereau propose de se reconnecter naturellement au soi, et d’en tirer le meilleur pour atteindre ses objectifs d’abondance ; ses aspirations naturelles à la joie.

 

Vidéo Complète avec Thierry ici
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